Ce 2 juillet, l’Oloferne, un bateau affrété par 17 organisations issues de 7 pays, prend la mer au port de Rosignano (Toscane), direction la Sicile, lieu de jugement de nombreux marins ayant prête assistance à des migrant-e-s en mer. La Campagne Boat4People y dénoncera le contrôle violent des frontières maritimes et la contradiction entre la criminalité des Etats et la criminalisation des personnes solidaires avec les migrant-e-s.

Un sans domicile fixe à Paris.
(Eric Pouhier/Creative Commons)

Le niveau de vie des Français a quasiment stagné en 2009 à cause de la crise, qui a d’abord touché les plus modestes, selon une étude de l’Insee publiée le 4 juillet. Des chiffres qui viennent conforter les observations des équipes du Secours Catholique.

« Réclamer le multilatéralisme : Pour les peuples, droits et le développement durable », la dernière publication de le Service de liaison des Nations Unies avec les organisations non gouvernementales (SLNG), est une œuvre analytique de réflexion qui se penche sur l’évolution du système multilatéral dans un contexte où différents défis sont apparus lors des crises économiques et environnementales mondiales.

Clôture du sommet Rio2012.
(Photo : Mark Garten/ONU)

Le délicat équilibre qui caractérise le document final de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio2012) est un motif de satisfaction pour les gouvernements. Cependant, beaucoup d'entre eux montrent une profonde déception vis-à-vis de la portée limitée du chapitre sur les ressources financières et le transfert de technologie, considéré comme un recul par certains négociateurs, selon l'analyse du Réseau du Tiers Monde (TWN).

Gro Harlem Brundtland. (Photo:
Mark Garten/ONU)

Des organisations qui luttent pour les droits des femmes ont exprimé leur déception profonde par rapport à « L'avenir que nous voulons », le document final de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio2012) tenue la semaine dernière au Brésil, a informé l'agence de presse Inter Press Service (IPS). « L'omission des droits reproductifs » dans le texte est « regrettable » et « un recul par rapport à des accords précédents », a déclaré l'ancienne Première ministre norvégienne Gro Harlem Bruntland.

Pour les activistes qui ont participé à la Conférence, il est inévitable de le comparer avec Action 21, adoptée au Sommet de la Terre tenu en 1992 également à Rio de Janeiro, selon Thalif Deen, chef de la correspondant d'IPS au siège de l'ONU à New York.


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